Marquèze, ou la vie landaise au 19è siècle

Vous êtes ici : Accueil / Vos voyages / Europe / France / Aquitaine / Marquèze, ou la vie landaise au 19è siècle

L'écomusée de Marquèze est un site du parc naturel régional des Landes de Gascogne. Il évoque sur un ancien quartier du village de Sabres la transformation des Landes de Gascogne à la fin du 19è siècle sous l'effet du développement forestier, ordonné par Napoléon III qui fit planter la grande forêt des Landes telle que nous la connaissons aujourd'hui.

Une société d'agriculteurs passe brutalement d'une vie plus ou moins autarcique à une économie de marché.

Photo de voyage en  Aquitaine

Voyage en Aquitaine de 1 week-end (Août 2012) raconté par Bergeronnette40

Le petit train du 19è

Pour se rendre sur le site de Marquèze, isolé du bourg comme l'étaient les quartiers de l'ancienne lande, il faut prendre un petit train aux voitures vertes datant de 1906 et 1911, classées monuments historiques. Rien qu'en prenant ce train, vous êtes déjà transportés au 19è siècle.

Après 10 minutes de trajet (pour faire 4 km), nous arrivons sur le site, où un guide nous attend pour nous faire découvrir la vie des principaux personnages de la société de la Grande Lande.

Là nous avons 2 options : la visite guidée d'1h30 ou la liberté de découvrir soi-même l'écomusée. Nous décidons de suivre le guide car il va nous faire découvrir les secrets de la vie paysanne de la fin du 19è siècle (visite incluse dans le prix d'entrée du billet, 13 euros).


La Lande, désert français au 19è siècle

Contrairement à ce que l'on croit généralement, la forêt des Landes de Gascogne (en gascon las Lanas), telle qu'on la connaît aujourd'hui comme le plus grand massif forestier d'Europe occidentale, n'est pas naturelle mais a été façonnée par l'Homme.

LES LANDES : "Sahara Français, poudré de sable blanc" disait Théophile Gauthier.
Autrefois, les espaces vides et infinis des Landes étaient une terreur pour les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle qui devaient traverser cette immensité de sable, en s'enfonçant à la hauteur des genoux. Les Landes étaient le « Sahara de la France ». L'image traditionnelle du berger landais perché sur ses échasses, témoigne de cette époque.

Le berger
Les bergers landais étaient perchés sur des échasses de 5 à 6 pieds de haut, vêtus de peaux de moutons et d'un bonnet de laine. Ils filaient ou tricotaient tout en surveillant nonchalamment le troupeau éparpillé dans une lande dénudée, et voyaient au loin si un danger menaçait le troupeau.
Lorsqu'il est brassier, le berger dispose d'une petite maison (meysouet) et d'un lopin de champ, complété d'un jardin, pour assurer sa subsistance.

Les brebis landaises
En 1850, le cheptel compte environ un million de têtes sur l'ensemble des Landes de Gascogne ; en 1914, il n’en reste plus que 25 000 ; aujourd'hui, il n'en subsiste plus que 3 000 faisant l'objet d'un programme de conservation du Conservatoire des Races d'Aquitaine.
Elles sont en général regroupées par parc (bergerie) pouvant héberger de 100 à 150 bêtes. Les troupeaux de moutons destinés à la boucherie sont rares.

Frugale, la brebis landaise est parfaitement adaptée au milieu végétal si particulier et si peu généreux de la lande. Haute sur pattes et longiligne, elle se révèle excellente marcheuse et d'une rusticité à toute épreuve. Soumise à ces rudes conditions d'élevage, elle ne donne que peu de viande, encore moins de lait et seulement deux agneaux dans sa vie (le premier à trois ans, le second à sept ans, âge de la « réforme »).

En été, le troupeau part très loin sur la lande humide qui occupe les grandes étendues inter fluviales, effectuant jusqu'à vingt kilomètres par jour : c'est la lande rase. Jusqu'au milieu du XIXème siècle, elle occupe environ les trois quarts du territoire.

Malgré ces caractères, il est difficile de parler de race locale. En effet, les échanges étaient nombreux avec les troupeaux pyrénéens. Ceux-ci traversaient régulièrement la région en fin d'été pour gagner les pâturages girondins puis en début de printemps pour rejoindre les pâturages d'estive. Dans certaines foires comme à Luxey, on s'approvisionnait en géniteurs venus du Béarn ou du Pays Basque pour « renouveler le sang ». Mais si la transhumance des troupeaux pyrénéens se faisait vers les Landes, les troupeaux locaux, eux, ne franchissaient jamais les lointains horizons du « Grand Désert ».


L'exploitation de la terre

Le laboureur
A la différence du berger semi nomade, le laboureur incarne le sédentaire par excellence. Il est propriétaire d'une terre et d'une exploitation complète. Sa maison affirme par son architecture la position sociale de ses occupants.

Les bœufs
Alors que le mouton, animal très commun, n'est l'objet d'aucune considération, les bœufs sont les animaux survalorisés de l'ancienne Lande. Fierté du laboureur, ce sont les seuls admis à cohabiter avec l'homme et associés à tous les grands moments (mariage, carnaval, etc.). En témoignent les estaoulis donnant dans la pièce centrale de la maison qui permettent d'apasturer à la chaleur de la cheminée.

Le premier outil du laboureur, c'est la paire de bœufs. Gros capital sur pied, ceux-ci bénéficient des plus grands soins. Sans eux, point de travaux agricoles ni de charrois. Le champ, compose une véritable architecture agraire.

L'airial
Nous arrivons dans une partie nommée « airial ». L'airial désigne, dans les Landes de Gascogne, une clairière au cœur du massif forestier, regroupant quelques maisons et leurs dépendances (grange, bergerie, poulailler…).

Pendant que le guide nous fait partager la vie de ses ancêtres au 19è siècle, des moutons viennent près de nous se faire caresser ou espérer glaner quelque nourriture.


Le métayer et le maître

Au cœur de l'airial, nous découvrons la maison du métayer à côté de celle du maître.

La maison du métayer.
Paysan, le métayer est la cheville ouvrière de l'exploitation des terres. Plus tard, il deviendra gemmeur pour exploiter la foret en gardant un statut de plus en plus inadapté à la nouvelle économie.
.
La maison du métayer possède un vaste grenier qui permet d'entreposer les récoltes. La maison ne lui appartient pas, il est soumis dans sa relation au propriétaire au droit coutumier du métayage avec ses variantes d'un quartier à l'autre.
La cheminée : dans la journée on entretient un feu avec du pin. Le soir venu, le chêne fournira plus de chaleur. Chaque famille fabrique ses chandelles de résine et de chanvre ou de cire d'abeille qui servent à éclairer les travaux du soir, dans une importante fumée, à peine aspirée par le conduit de cheminée.
Complétée par un rideau qui facilite un meilleur tirage, l'étagère de la cheminée accueille au sec le sel, les cartouches, les guêtres ou les chandelles de rechange.
Le fourneau est alimenté par les braises de la cheminée. Posées sur la grille, elles permettront aux aliments de mijoter doucement. Les carreaux de ce fourneau proviennent du nord de la France, probablement acquis lors d'une foire.
.
La maison du maître :
Le vaste auvent en façade signale ici le statut le statut du propriétaire. Dès 1890 apparaissent tous les signes de l'embourgeoisement par l'exploitation des pins : ouvertures agrandies et vitrées.
.
Petite remarque : sur les photos, nous avons l'impression que les lits sont petits. Ce n'est pas parce que les Landais étaient nains mais ils avaient peur de la mort, aussi ils dormaient assis pour ne pas prendre la "position du mort" entièrement allongée.


Le meunier et le moulin à eau

Un peu plus loin, près de la rivière, la maison du meunier et le moulin à eau

Le meunier
Le meunier est un homme à part. Bien qu'en relation étroite avec les quartiers, il vit à l'écart de leur population. Son métier prestigieux et de bon rapport le démarque des paysans. Son aisance lui accorde une position privilégiée et enviable : la meunerie constitue une sorte d'élite. Le meunier est un des rares à manier couramment l'argent, il joue à l'occasion le rôle d'usurier. Il est très recherché des jeunes filles.

Il tire son aisance d'une position de force dans l'économie agro-pastorale : tous les paysans sont obligés d'en passer par lui. Il travaille principalement le seigle, mais aussi d'autres céréales. Il fait payer son service en usant du droit de pugnère (poignée) : il prélève une part du grain à moudre (de 10 à 20 %). Et certains ont la réputation d'avoir la main lourde. De plus en plus au XIXe siècle, les frais de mouture sont acquittés en numéraire. À plusieurs reprises l'administration a dû intervenir pour refréner la cupidité des meuniers, accusés de tricher dans l'art des poids et mesures. Seul en mesure de traiter le grain indispensable à l'aliment de base, le pain, il a le monopole de l'outil de transformation : le moulin.

Rien d'étonnant alors que les notables spéculent sur l'achat de moulins. De ce fait, le meunier n'est pas toujours propriétaire de son moulin. Il est parfois fermier, lié par un bail au propriétaire à qui il verse une rente annuelle essentiellement en nature (sac de grains, volailles, quartier de cochon). Dans ce cas, le meunier est plutôt issu d'une famille de propriétaires-laboureurs, assurance de sérieux et de solvabilité pour le propriétaire du moulin.

En raison de l'emplacement du moulin, le meunier vit à l'écart des quartiers. Pour s'implanter, il doit trouver le fond d'une vallée de rivière suffisamment évasée pour accueillir tous les éléments de l'aire meunière : sa maison, le moulin, divers bâtiments annexes ainsi que la dérivation du cours d'eau, le barrage et l'étang de retenue.

Malgré son isolement, le meunier entretient une relation suivie avec les paysans des quartiers alentours. Lors de sa tournée en charrette, il visite ses clients, prenant ici un sac de grain pour l'emporter au moulin, rapportant là un sac de mouture. Le chemin du moulin (camin moulié en gascon) matérialise le lien qui existe entre la rivière et les quartiers.

Chez lui, le meunier, aidé de sa famille et éventuellement d'un domestique, entretient une basse-cour, un jardin, des ruches, un cochon etc. qui lui fournissent une bonne part de sa nourriture. Avec les déchets de sa mouture, il nourrit un lot de poissons (brochets, truites, anguilles) dans l'étang de retenue.

Le moulin à eau
Dans les Landes, les moulins sont des édifices toujours modestes ne comprenant en général que deux jeux de meules, l'un pour les gros grains (maïs et seigle) l'autre pour les petits grains (millet et panis).

Construit sur un canal de dérivation pour le protéger des crues subites de la rivière, le moulin de Marquèze est construit sur un bras de l'Escamat, petit affluent de la Leyre. En raison du relief peu prononcé, les rouets d’entraînement sont horizontaux.

Au début du 19è siècle, la commune a, pour une population de 2000 habitants, pas moins de huit moulins dont quatre sur l'Escamat. Démonté sur la commune de Geloux puis remonté sur le site de Marquèze en 1972, ce moulin remplace le moulin d'origine, aujourd'hui disparu.


Le pain, base de l'alimentation

Le pain
Le pain est la base de l'alimentation dans la société traditionnelle. Une fois le grain moulu, chaque paysan dispose de sa mouture qu'il doit traiter et affiner de manière à obtenir la farine panifiable. La séparation du son et de la farine est réalisée soit à l'aide d'un simple tamis à main, le crible, soit grâce à un engin plus élaboré, véritable meule munie d'un tambour intérieur et actionné par une manivelle, le blutoir.

Avec cette farine, la maîtresse de maison (la daune) fabrique la pâte à pain dans un pétrin domestique (meyt). Cette pâte, façonnée en boules de trois à cinq kilogrammes en moyenne, est cuite dans le four à pain proche de la maison. La cuisson a lieu toutes les deux semaines pour le pain de la maisonnée.

La fabrication du pain est l'aboutissement d'une longue chaîne d'opérations :

•il faut un kilogramme de pain de seigle par jour pour nourrir un adulte, soit 4 000 kilogrammes par an pour une famille de dix personnes
•pour fabriquer ces 4 000 kg de pain, il faut 3 200 kg de farine
•pour obtenir ces 3 200 kg de farine, il faut 4 000 kg de grains de seigle
•pour produire ces 4 000 kg de grains de seigle, il faut 4 hectares de champ
•pour fertiliser ces 4 ha de champ, il faut 60 tonnes de fumier
•pour obtenir ces 60t de fumier, il faut 100 brebis
•pour nourrir ces 100 brebis, il faut 100 ha de lande

Il y a aussi des gateaux, dont le plus typique est le PASTIS LANDAIS. Voici la recette (je ne l'ai pas essayée).
250 g de farine, 100g de sucre, 8 oeufs, 80 g de beurre, 1 baton de vanille, 5 g de levure de boulanger, un verre de rhum.
Délayer les 5g de levure, le tiers de farine dans un peu d'eau tiède. Laisser reposer 30 mn.
Faire fondre le beurre au bain marie en y ajoutant le sucre, délayer le rhum et la farine à la spatule, garder la préparation au bain marie.
Dans un moule, verser la farine, ajouter les deux premières préparations ainsi que les oeufs. Pétrir le tout jusqu'à obtenir une pate homogène.
Laisser la pate dans un endroit tempéré pendant 2 heures pour qu'elle gonfle. Placer la pate dans un moule haut, préalablement beurré, puis faire cuire à feux très doux pendant 1 heure. Servir avec une crème anglaise.


L'arbre d'or des Landes

Finalement, c'est la loi du 19 juin 1857 de Napoléon III qui sonna le glas de ce système agro-pastoral, en rendant obligatoire l'assainissement et le boisement en pins maritimes de ces immenses terrains communaux. Celle-ci signa l'expropriation et la disparition de ces populations, qui se recyclèrent tant bien que mal dans l'industrie du bois et du gemmage.

Publiquement, la plantation de pins maritimes dans l'intérieur des terres était présentée comme indispensable pour "assainir les marécages et améliorer les conditions d'hygiène" disait-on à l'époque. Cela ne faisait pas l'unanimité mais la population de l'époque n'a jamais été consultée.

La première génération de pins plantés massivement dans la seconde moitié du XIXe siècle est arrivée à maturité au début du XXe siècle. La surface de la forêt ayant dépassé en 50 ans, le million d'hectares. C'est alors que le pin des landes devint L'ARBRE D'OR, grâce à sa résine servant à produire de l'essence de térébenthine et de la colophane.

Le résinier et le gemmage
Le gemmage est une opération qui consiste à "blesser" un pin pour qu'il envoie de la résine afin de cicatriser cette blessure. Le gemmeur, ou résinier, est celui qui, armé d'un hapchot, pratique cette entaille (care) et qui récolte la résine dans un petit pot, qui une fois plein est reversé dans une barrique. Le résinier habite, une maison, plus modeste que celle du maître.

Le procédé de gemmage s'est étendu à toute la Gascogne landaise, et s'est modernisé et industrialisé. On exploitait désormais des milliers d'hectares de pins pour extraire "l'or blanc" des Landes de Gascogne. La résine se vend très bien et procure d'excellents revenus aux propriétaires de pins, issus de la petite bourgeoisie rurale. Magenta, Sébastopol et Malakoff retracent cette épopée landaise.

Initialement, on utilisait la résine pour la fabrication de torches, de bougies, de chandelles ou de vernis destinés aux instruments de musique ou aux bateaux. Certains sous-produits de la résine étaient également utilisés pour calfater la coque des bateaux. Les habitants de la région utilisaient aussi certains de ces produits pour soigner des affections pulmonaires, ou encore les furoncles. Toujours est-il que les rapports entre résine et médecine ne datent pas d'hier !

Ensuite, on a transformé la résine récoltée pour obtenir, après distillation, deux produits essentiels : l'essence de térébenthine et la colophane. Ces deux produits de base peuvent à leur tour être transformés en produits dérivés. Les possibilités d'utilisation de l'ensemble de ces produits, essentiels et dérivés, sont aujourd'hui innombrables.

1, On retrouve donc l'essence de térébenthine notamment dans les peintures, les vernis et dans de nombreux produits d'entretien. Après transformation, les dérivés obtenus permettent également de fabriquer des composés entrant dans la formulation de parfums ou d'arômes (le citron, le lilas, le muguet ou encore la violette sont par exemple issus des dérivés de l'essence de térébenthine). Il existe également des applications médicales. Le citral, qui est aussi un dérivé de l'essence de térébenthine, est par exemple utilisé comme matière première dans l'élaboration de la vitamine A, qui est très utilisée en pédiatrie, en dermatologie ou même maintenant en cancérologie.
.
2, On trouve aussi la colophane ou brai, qui intervient principalement dans la fabrication d'adhésifs, de colles, de papiers ou d'encres d'imprimerie. On peut même citer l'exemple de la gomme entrant dans la fabrication des célèbres chewing-gum ! Compte tenu d'ailleurs du nombre de chewing-gum consommés dans le monde à l'heure actuelle, cette utilisation des produits issus de la colophane n'est plus du tout considérée comme marginale par les spécialistes.

Mais, le gemmage a décliné progressivement après les années 1960, et a totalement disparu en forêt de Gascogne en 1990 dans une indifférence quasi-générale. L'industrie chimique (essence de térébenthine et autres dérivés terpéniques, par exemple) a trouvé d'autres sources plus économiques pour ses produits de base en important de la gemme étrangère à faible coût de main-d'œuvre.

Aujourd'hui encore, l'exploitation touristique et publicitaire de la forêt donne lieu à la vente de petits pots de terre très semblables à ceux qui étaient utilisés à l'époque. Cette activité qui a longtemps été la seule activité industrielle de la région landaise est devenue une caractéristique, une icône des Landes (au même titre que les échassiers landais). Cette icône se retrouve sur de nombreuses cartes postales destinées au tourisme et on la retrouve aussi dans le cadre de l'écomusée de Marquèze et de quelques sentiers de présentation du gemmage.

Des projets de relance ont vu le jour au début des années 2000, sans suite à l'heure actuelle.



Lors de votre passage dans les Landes, arrêtez vous au site de Marquèze et vous pourrez aussi assister à quelques reconstitutions de la vie au 19è siècle, comme la tonte des moutons en mai (filage et teinture de la laine, initiation au tricot, etc.), ou fin août, assister aux démonstrations de battage traditionnelles du seigle (batteuse ancienne, fléau) et des utilisations de la paille.

Voyage raconté par Bergeronnette40

Photos Carnet de voyage en Aquitaine


Voir toutes les photos du voyage en Aquitaine

Recommandations pour ce voyage

Les plus...

  • Mettez de bonnes chaussures
  • Vous pouvez emmener le pique nique, une aire est aménagée à cet effet
  • Vous pouvez emmener les enfants

Les moins...

  • La boutique de souvenirs
  • Ne pas arriver trop tard sur le site car pas mal de choses à voir
  • Evitez les mégots de cigarettes car c'est très sec

Que pensez-vous de ce carnet de voyage en Aquitaine

Notez ce carnet de voyage :

Ce carnet de voyage vous a plu ? N'hésitez pas à féliciter Bergeronnette40, lui laisser un commentaire ou bien lui demander des informations complémentaires via le forum :

Laisser un commentaire à Bergeronnette40
Rechercher sur le site (+ d'option)
Autres voyage Aquitaine

Découvrez d'autres carnets de voyage en Aquitaine (Aquitaine) à découvrir :

Voyage en  Aquitaine de 3 semaines (Août 2012) raconté par kristie1 Dax, ville thermale et la région des Landes écrit par kristie1
 

Autres carnets à découvrir

Voyage au  Languedoc-Roussillon de 1 week-end (Octobre 2017) raconté par anonyme_108252 L'Aubrac écrit par anonyme_108252
 

Voyage A la découverte de la la Toscane - 2017 écrit par bentec
 

Voyage Turin, Gênes et les Cinque Terre - 2017 écrit par bentec
 

Voyage au  Languedoc-Roussillon de 2 semaines (Septembre 2010) raconté par icare Les Cévennes, un retour à la nature écrit par icare
 

Voyage Rome, Naples et l'Italie du Sud - 2018 écrit par bentec
 


Généré en 0,049 secondes