Lanzarote, on a marché sur la lune

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Décembre 2018, après les fêtes de noël et une année bien chargée, mon mari et moi aurions bien besoin d'un petit break. Je me mets en quête d'une destination dernière minute. Mes critères : pas trop loin, vol direct, et surtout du soleil.
Aéroport de Marseille, pas beaucoup d'offres, pas envie de Tunisie ou de Maroc. Je farfouille encore et tombe sur un vol opéré par Volotea : Lanzarote.
Le mot chante à mes oreilles. Oui... Mais non... Les îles Canaries, le tourisme de masse... pas pour nous. Presque par dépit, je décide de jeter un oeil sur les blogs. Contre toutes attentes, les retours d'expériences sont très positifs. Allez go! Ça sera Lanzarote !

Photo de voyage en  Espagne

Voyage en Espagne de 1 semaine (Janvier 2019) raconté par vmpbou

Nos premières impressions

Nous atterrissons de nuit sur ce petit bout de cailloux. Dommage, on ne voit rien, mais la température est bien plus douce qu'en métropole. On récupère notre voiture de location pour rejoindre notre hotel.
À notre réveil tardif, en sortant sur la terrasse de notre chambre, nos yeux s'écarquillent. Des dômes volcaniques nous entourent. Le paysage est vraiment surprenant. Nous n'avons plus qu'une envie : arpenter cet étrange et envoûtant territoire.


Teguise

En route pour Teguise, petit village du centre de l'île. Capitale de Lanzarote jusqu'en 1852, la commune a cédé sa place au profit d'Arrecife. En se dimanche matin, le marché bât son plein. Si le marché ne nous a pas convaincu, remplit de contrefaçons et de produits chinois, le village n'en demeure pas moins charmant avec ses jolies ruelles pavées, sa belle église et ses quelques boutiques d'artisanat local.

14h on s'installe en terrasse pour déjeuner. Le marché plie bagages. Un homme tirant son âne s'approche de nôtre table. Toujours méfiante, je me dis qu'il va nous demander quelques euros pour prendre une photo. Mais non en habitué des lieux, il interpelle la serveuse qui lui apporte aussitôt sa bière. Il là consommera debout puis disparaitra avec son animal au détour d'une ruelle.

Le ventre plein de tapas en tout genres, il est temps de reprendre la voiture.


La fondation César Manrique

Direction Tahiche pour la visite de la fondation César Manrique. L'ancienne maison de l'artiste est construite dans les bulles volcaniques d'une ancienne coulée de lave. Ici la maison et la nature semblent avoir fusionné.

Une visite intéressante qui permet de mieux comprendre l'énorme influence de cet homme qui a su donner l'envie aux habitants de préserver leur île. Sur Lanzarote les maisons sont basses et blanches, les portes et les volets sont verts ou bleus. Tout ça contraste joliment avec la noirceur du paysage. Le long des routes aucun panneau publicitaire. Les sites touristiques sont aménagés avec goût. Même les poubelles se fondent dans le paysage.

Une journée qui s'achève sur la promesse de belles découvertes.


Le volcan El Cuervo

Le jour se lève, Chaussures de marche aux pieds, il est grand temps de rendre visite à l'un de ces petits volcans qui nous font de l'oeil. Notre cible : le volcan El Cuervo.

Ce volcan fut le 1er cône à cracher ses fleuves de lave lors de l'éruption de 1730.

Petite randonnée sympa autour de ce joli volcan égueulé jusqu'au sol ce qui permet d'accéder facilement au coeur de son cratère. Le dépaysement que nous sommes venus chercher est bien là.


L'étonnante vallée de La Geria

Après l'effort, le réconfort. C'est l'heure de l'apéro! Et La vallée de la Geria, la région viticole de Lanzarote nous tend les bras. Un paysage insolite se dévoile. Des champs de sable volcaniques, creusés de centaines de trous chacun entourés d'un mur de pierres en demi cercle. Chaque trous abrite un pied de vigne protégé du vent, et prêt à digérer la moindre goutte d'humidité.

En parcourant ce paysage on peine à croire qu'avant l'éruption du Timanfaya de 1730, la région possédait des terres fertiles plantées de céréales. Le vin produit dans la vallée est un vin de malvoisie donc issu de cépages de Méditerranée.

Plusieurs Bodegas invitent, moyennant quelques euros tout de même, à la dégustation. On stop à la bodega de la Geria ou le blanc semi dolce est une tuerie.


Les Salines de Janubio

On rejoint maintenant le littoral. On marque un arrêt aux salines de Janubio où un petit resto avec une vue imprenable nous concoctera une paella mémorable.

Les salines ont été creusées dans une lagune fermée de l'océan par une barre de sable suite aux éruptions de 1730 et 1736. La construction des salines a commencé en 1895, par Vicente Lleó Benlliure, la famille Padrón Lleó exploite encore le site. Jusque dans les années 1970, la production de sel atteignait 10 000 tonnes par an.

Le sel était utilisé principalement pour la salaison du poisson. Du fait de la baisse de la demande, l'activité a été considérablement réduite. Aujourd'hui les Salines produisent moins de 2 000 tonnes par an.


Los Hervideros

Notre route se poursuit au beau milieu de champs constitués d'une épaisse couche de lave acérée. On aperçoit à gauche l'océan et à droite quelques dômes volcaniques. Bientôt un joli panneaux annonce l'entrée du site de Los Hervideros (sources bouillonnantes en français). On gare la voiture au parking.

Le site est constitué d'une coulée de lave datant des éruptions du XVIII ème siècle. La lave qui s'est pétrifiée au contacte de l'océan a formé des cavités dans lesquelles les vagues s'engouffrent et s'éclatent. Cet univers chaotique a été aménagé avec goût. On peut même y emprunter un escalier permettant de descendre vers un petit balcon offrant une vue incroyable sur les éléments déchaînés. Le lieu est dominé au nord par un volcan aux couleurs rougeatres. Magnifique !


Charco de los Clicos et le village d'El Golfo

Plus à l'ouest, juste avant d'arriver au village d'El Golfo, un petit sentier qui grimpe nous mène à la lagune verte. Whaou! La lagune est coincé sur une belle plage de sable noire entre l'océan et les falaises rouges, jaunes, noires d'un volcan dont la moitié du cratère est engloutie. Les contrastes de couleurs sont vraiment très beaux. La couleur verte est due à des organismes végétaux en suspensions.

Nous terminons cette belle journée dans ce petit village de pêcheurs. Ici et là, quelques restaurants de poissons. Des maisons blanches comme il se doit et un soleil qui se couche pour nous offrir un beau spectacle. Nous rentrons à notre hotel des images plein la tête.


Playa de los Pocillos

Après un bon petit déjeuné, nous décidons d'explorer à pied les alentours de notre hôtel. L'entrée de celui de notre chambre donnant sur les montages, nous n'avions pas remarqué que nous étions vraiment en bord de mer. Un petit portillon s'ouvre sur la belle et grande plage de Los Pocillos.

En faite nous sommes au coeur d'une petite station balnéaire. La plage est aménagé pour les touristes, avec quelques transats, je me dis qu'en été ça doit être bondé. Mais en cette saison, on a un sentiment d'espace incroyable. Il est agréable de s'y promener. Quelques baigneurs téméraires mettent un peu de vie.

La petite station est aménagée avec goût dans le style de l'île. Les constructions sont blanches et basses. Pas de grande marina, quelques boutiques, cafés et restaurants mais nous sommes loin du désastre de la côte d'Azur.


Le jardin de cactus

Nous filons maintenant vers le nord. De la route en arrivant à Guatiza, on peut voir de nombreux champs de figuiers de barbaries. Le but de cette culture n'étant pas la récolte des figues, mais la fabrication d'un pigment rouge issue d'un insecte parasite de la plante: la cochenille.

Le jardin de cactus, véritable oeuvre d'art de plein air, imaginée par César Manrique un peu avant sa mort rend hommage à cette culture. Il a été construit dans une ancienne carrière de Lapillis volcaniques. Surmonté par un moulin à vent, le jardin bâti en amphithéâtre à gradins de pierres volcaniques abrite plus de 1 400 espèces. L'aménagement, la diversité et la taille des cactus en font une visite incontournable de Lanzarote.


Jameos del Agua

Un peu plus loin on rejoint le littoral, le paysage change, sur la lave qui a coulée jusqu'à la mer, des touffes de végétation subliment le paysage. Bientôt un énorme crustacé de fer domine l'océan. Nous somme arrivés aux Jameos del Agua, il s agit d'un tube volcanique ouvert des deux côtés. Les infiltration d'eau de mer y ont formées un lac intérieur dans lequel on peux voir des milliers de petits crabes blanc albinos unique au monde. Belle preuve de l'adaptation de la vie aux milieux difficiles.

Encore une fois l'endroit a été joliment aménagé par Manrique. On y trouve un restaurant, une salle de concert de 600 place avec une acoustique exceptionnelle et à la sortie une sublime piscine mais je n'ai pas été sensible à cette dernière que je trouve personnellement de trop sur les lieux.


Caleton Blanco

L'après-midi est bien avancé. Nous décidons de finir la journée dans la baie de Caleton blanco. Le lieu est resté très sauvage. Les contrastes de couleurs entre les dunes de sables blanc, le noir des pierres volcaniques et le bleu de l'océan est sublime. Quelques Piscines naturelles permettent une baignade en toute tranquillité.

Le soleil se couche, on retourne à notre hotel où nous sommes accueillis par les ébats de plusieurs couples de perruches criardes. Encore une belle journée.


Timanfaya

Plongeons au coeur de l'histoire du volcanisme. Celle qui a façonnée le paysage exceptionnel de Lanzarote. Aujourd'hui l'île est recouverte aux trois quarts de lave produite par plus de trois cents cratères appartenant à une centaine de volcans. L'éruption majeure a durée six longues années de 1730 à 1736. Si elle a rasée les villages et la plaine fertile sous une épaisse quantité de lave, elle a aussi donnée naissance à 32 cônes volcaniques, appelés les montagnes de feux.

Nous sommes au coeur du parc national de Timanfaya au sud ouest de Lanzarote. Pour preserver le site, il est interdit de fouler ce sol lunaire. La visite s'effectue en bus sur une jolie route qui serpente un paysage unique : coulées de lave, étendues de cendres, cratères ouverts, crevasses... Dommage les commentaires ne sont pas en français et il est frustrant de prendre les photos à travers les vitres du bus.

En fin de visite le personnel du parc se livre à quelques petites démonstrations pour bien montrer que Le volcan brûle toujours. Nous n'avons pas oublié de jeter un oeil au spectaculaire four qui cuit les aliments à la chaleur du volcan du restaurant panoramique, El Diablo.


Playa Del Papagayo

Pour la deuxième partie de la journée, on rejoint le sud est de l'île. On roule maintenant sur une piste de sable et de terre. Quelques kilomètres de chemins cabossés et l'on arrive à la pointe de Papagayo. L'occasion d'une belle balade le long d'une succession de petites criques. L'océan d'un côté, le desert de l'autre. Nous resterons là pour contempler les lieux s'illuminer de jolies teintes dorées au soleil couchant.


De Teguise à Haria

Un nouveau jour se lève sur Lanzatote. Nous partons à la découverte de l'intérieur des terres de Teguise à Haria. Dominant Teguise, perché en haut d'un cône volcanique, nous avions remarqué quelques jours auparavant, une ancienne fortification. La plupart des vestiges des temps anciens ayant été engloutis par les éruptions, il semblait normal que l'on s'y intéresse.

Une route pendue s'élève jusqu'au château de Santa Barbara. Une très belle vue panoramique s'offre à nous. Le chateau fut construit en plusieurs phases pour protéger Teguise, alors capitale de l'île, des pillages de corsaires et de pirates. En 1336, une tour fut d'abord érigée ; en 1551, un château fut construit. Mais en 1586 il faut détruit par une attaque. Il sera reconstruit en 1591. Comme pour rendre hommage à son histoire houleuse. Aujourd'hui, il abrite le musée de la piraterie.

Après cette halte instructive, on poursuit vers le village de Los Valles. Le paysage change. Les pentes des volcans se couvrent de cultures en terrasses. Le village est réputé pour sa production de pommes de terre. Ah les papas arrugadas servies avec les fameux mojo (sauces) Verde et rosso! Un incontournable de la gastronomie de Lanzarote.

À la sortie du village la route grimpe dans les montagnes. Le paysage est très verdoyant. Puis on entame la descente vers une nouvelle vallée. Au détour d'un virage, en contrebas, on apparaît, tel une oasis, un sublime petit village blanc, Haria et ses mille palmiers! La tradition veut que pour chaque naissance les parents planté 1 palmier si c'est une fille, deux si c'est un garçon.

Nous passerons un très agréable moment à flâner dans les ruelles de ce beau village.


Mirador Del Rio

Après cette jolie halte nous poursuivons nos explorations en direction du nord ouest.
La route remonte encore. On arrive sur un vaste plateau au dessus de grandes falaises qui dominent la mer. Une sculpture indique : mirador Del Rio; encore un lieux/oeuvre aménagé par l'enfant du pays.
Cependant nous décidons de ne pas visiter l'endroit.

On se déplace d'une centaine de mètres sur la gauche. Et là on dit Whaou! Nous trouvons ce que nous somme venus chercher ici. Une vue époustouflante sur l'archipel de Chinijo et en particulier sur la petite île de la Graciosa, séparée de Lanzarote par un détroit large d'environ deux kilomètres.

Au pied de la falaise se trouve un des plus anciens marais salants des Canaries. Le décor est vraiment impressionnant ; c'est décidé demain nous irons fouler le sol de La Graciosa.


Orzola

Pour acheter nos billets pour la traversée nous poussons jusqu'à Orzola, ce petit village de pêcheurs situé à l'extrême nord. En chemin on aperçoit les belles plantations d'Aloe Vera. On marque un stop pour la photo et l'achat de quelques crèmes et savons.

Arrivé à Orzola, billets en poches, on en profite pour goûter à la tranquillité des lieux. On se ballade puis on décide de dîner dans un de ces petits restau de poissons.

Décidément j'aime le nord sauvage de Lanzarote.Il est tard on rentre se coucher.


Cueva de los Verdes

Réveil matinal, un nouveau petit bout de cailloux nous attend. Mais avant, parce que c'est sur notre route, on décide de visiter Cueva de Los Verdes. Il s'agit d'un des plus long tunnel de lave au monde. Long de 6 km, il relie le volcan Corona à la mer. Jameos del Agua visité auparavant en est l'arrivée.

Mais ici, un parcours de un kilomètre a été aménagé. L'intérieur du tunnel est chaotique, avec des salles spacieuses et des corridors tortueux et étroits. Formes et couleurs sont mises en valeur par l'artiste Jesus Soto. Dommage la visite se fait en groupe et les commentaires ne sont pas en français.


L'île de la Graciosa

À la fin de la visite, pas le temps de traîner si l'on veut attraper le prochain ferry. Ouf juste à temps. On jette l'encre. Nous avons de la chance, l'océan est très calme. Nous n'aurons pas le mal de mer durant les 45 minutes que dure la traversée. On profite de la belle vue sur les falaises et de l'arrivée à Caleta de Sebo, Le village de la Graciosa (Il existe sur l'île un deuxième village, du nom de Pedro Barba, mais il n'est constitué que de résidences secondaires de Canariens et n'est pas habité en hiver).

En débarquant on se trouve plongé dans un autre monde. Sur La Graciosa aucune route. Même Les maisons ont les pieds dans le sable. C'est un plaisir que d'arpenter ce petit village aux allures de Tataouine dans Star Wars. Puis nous décidons de louer des vélos pour partir à la découverte de ses paysages.

La Graciosa se mérite. Pas toujours facile de rouler dans le sable. Mais l'effort en valait la peine. On y a trouvé un véritable trésor : La playa de Las Conchas. Entre volcans rouges et noirs, mer émeraude, sable blond, dunes, roches noires et plaines désertiques, on a une impression de bout de monde. L’îlot d’en face (Montana Clara) renforce la touche d'exotisme.

J'aurai pu rester des heures à contempler ce spectacle. La journée est passé trop vite. Mon seul regret sera de ne pas avoir passé une nuit sur la Graciosa pour mieux l'explorer et en profiter encore et encore.


Montaña Colorada

C'est déjà notre dernier jour sur la lune. Alors on veut revivre, pour en prendre encore une fois plein la vue, une sorte de résumé de notre séjour. c'est parti!

ENCORE une visite à un volcan, Montaña Colorada. Un petit sentier permet d'en faire le tour. Au début du parcours nous sommes face au versant gris du volcan. C'est celui d'où s'est écoulé la lave. Tout autour de nous du volcan en veux tu en voilà. On progresse, toujours séduit par cet environnement insolite.

Enfin se dévoile le versant est. La présence d'oxyde de fer lui donne une couleur rouge irréelle, parsemé de touffes de lichens verts comme des étincelles de vie. Au pied de ce versant, planté dans un champs de lave l'on peut voir plusieurs bombes volcaniques violemment éjectées du cratère lors de l'éruption. Une en particulier retient notre attention. Elle est géante et couleur argent. Une nouvelle fois le contraste des couleurs nous éblouit.


El Grifo

Cette petite rando, nous a donné l'envie ENCORE une fois de revoir le paysage si particuler de la vallée de la Geria. On choisit, la bodega El Grifo qui est le domaine le plus ancien de l'île.

On y découvre un petit musé intéressant dédié à la fabrication du vin. Un parcours permet de se balader aux milieux des vignes bicentenaires. Ici contrairement aux autres domaines où la culture des vignes se fait en demi cercle, on plante entre des rangées de murs droits.

Et ENCORE une fois la dégustation est un régal.


Monumento Al Campesino

Arrivés au village se San Bartolomé ; on tombe ENCORE sur une oeuvre de Cesar Manrique. Un monument d'un blanc éclatant formant une sorte de haute colonne érigée en hommage aux paysans du pays. Autour un ensemble de corps de ferme rénové abrite quelques boutiques d'artisanat locale. Poteries, travail du cuir, objet teintés avec le rouge de cochenilles, fromages, produits à base d'Aloe Vera.... quelques ateliers découvertes sont proposés. J'en profite pour m'initier aux secrets de la recette du fameux Mojo qui accompagne si bien les papas.


Famara et Playa Quemada

Notre petite virée nous conduit maintenant sur la cote nord ouest. On déjeune à La Caleta de Famara, un petit village de pêcheurs et surfeurs. L'ambiance y est décontractée et les maisons sont plantées dans le sables à l'image de la Graciosa.
Notre excellent repas avalé, on rejoint la plage du village. ENCORE une belle et grande plage. Elle offre de superbes vues sur les falaises. On restera là, un bon moment à regarder évoluer les surfeurs sur les vagues.

Maintenant on file à l'opposé, direction le sud est. On y est; dernier arrêt : Playa Quemada. Dans ce petit coin paumé . Un hameau de pêcheurs, une plage de roches noires. Peu de touristes viennent se perdre ici. On profite a fond de la beauté et du calme incroyable qui règne ici. On est au bout de monde mais aussi au bout de notre chemin sur Lanzarote.



Ce voyage aura vraiment été l'occasion de dépasser nos préjugés. Quelle chouette destination hivernale ! Le nom de Lanzarote chantera toujours à mes oreilles avec en prime des étoiles pleins les yeux. Ce carnet terminé, hors de question de me laisser gagner par la nostalgie.
J'ai rapporté dans mes bagages un peu de ce soleil sucré. Une bouteille de Malvoisie semi dolce sera parfaite. Santé les Oufs !

Voyage raconté par vmpbou

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Les plus...

  • Louer une voiture en plus l'essence n'est pas chère
  • Explorer toute l'île
  • Découvrez la graciosa
  • Manger dans les restos canariens
  • Laissez vous envoûter

Les moins...

  • Le bus à Timanfaya dommage
  • La visite groupée de Cueva de Los Verdes
  • Il est impossible de marcher dans certains endroits car l'épaisse couche de lave est coupante

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