Que l’enfer peut être beau !!! En 1995, la dernière éruption du Pico de Fogo (sur l’île du même nom, Cap Vert) a chassé la vie de sa caldeira dans une confusion de laves aujourd’hui obscures. 20 ans plus tard, à mon passage là-bas, l’endroit était lunaire : plaques de soufre qui créent sur la cendre des tâches de lumière comme celles que les vitraux jettent au sol des cathédrales, torpeur torride sous un ciel bleu impitoyable, une chaleur de plomb qui rappelle que le volcan ne dort que d’un œil. Il y a de par le monde de ces endroits, brûlants ou glacés, qui agissent sur nous comme des aimants et où l’on aspire à retourner, un jour…
Sur l'île de Santo Antão, au Cap Vert, les enfants de le "petite école" (primaire) portent tous des blouses bleu ciel pour aller en classe. Cette jeune et charmante demoiselle s'était ce jour-là coiffée d'un bandeau assorti.
Juste pour participer moi aussi : c'est quoi ce bâtiment fait de petites cases, pas très joli, joli, et qui pourtant a une telle vue sur mer ??? A Ponta do Sol, le bout du bout de l'île de Santo Antao au Cap Vert, la municipalité a décidé il y a quelques années pour combattre l'insalubrité que constituait l'élevage du cochon familial qui avait un peu tendance à traîner partout, et surtout à "faire" partout dans les rues, d'installer une porcherie communautaire en lisière de la ville. Finalement, ce n'est pas idiot et bien moins malodorant que certains élevages bretons. Le plus sympa, et bizarre, c'est que certains habitants ont à présent la curieuse coutume de sortir le cochon en promenade, en laisse, dans les rues de la ville.
Copyright © 2009 Fou de voyage - Tous droits réservés - Reproduction interdite sans autorisation - Voir les mentions légales
Site édité par l'agence web Netfizz, immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Lyon sous le numéro 494 460 819